Francescas - se meurt-il doucement?
Voici une photos d'une cavalcade à Francescas, un moment de fête
Quand on a connu Francescas depuis quelques années, on constate malheureusement une baisse d'activité dans différentes domaine du village, une réduction douloureuse de la vie sociale, un manque de vitalité en générale.
Quand on a connu les cavalcades, les concerts de l'harmonie, les fêtes de pentecôte, de la musique, les thés dansant, les cracheurs de cerise et la fête des fraises, qui ont accompagnées les villageois depuis des décennies, alors on a le cœur lourd aujourd'hui on constatant une absence de tous ces moments de joie et bonheur.
Bien sûr il avait le Corona-Virus, une baisse de l'activité sociale imposé par les restrictions gouvernementale et la peur de chacun concernant la possibilité d'une contamination.
Mais depuis la vie a repris, les hôtels et restaurant se remplissent à nouveau avec des clients à la recherche du plaisir, afin d'oublier les moments difficiles.
Mais Francescas reste silencieux, reste enfermé sur soi-mêmes, les rues sont désespérément vide le matin,l'après-midi et le soir.
Ce week-end passé il y avait que dix personne pour un thé dansant, qui bien sûr a été annulé sur le champ.
Exception faite autour de la Boulangerie et la station de service, ou le villageois peuvent s'approvisionner fort heureusement.
Alors quelle est la raison de ce triste constat?
Est-ce que les deux années passées ont démoralisées nos citoyens? Est-ce que l'âge d'une partie de la population a pris le dessus et empêche nos ami(e)s de retrouver le rythme de la vie habituel? Est-ce que la transition entre les aînées, qui habite plutôt dans le centre du village et la jeunesse nouvellement arrivées, qui a prie domicile dans des quartiers autour de Francescas, ne fonctionne plus comme dans les générations nées avants?
Est-ce que la mairie pourra jouer un rôle plus dynamique dans cette situation? Le sydicat d'initiative a-t-il cherché toutes les solutions possibles? Comment évaluer la situation pour comprendre les raisons et trouver les remèdes.
La Culture, au cœur de notre construction intime et de notre cohésion sociale, a été très durement touchée par la crise sanitaire. Peut-être le moment est venu de moderniser l'offre, moderniser les association qui travaillent avec amour à la création des événements, intégrer aux fêtes dansantes le week-end des orchestres pour les moins âgés, voir les jeunes?
Si nous arrivons pas à intégrer la jeunesse de Francescas dans la vie sociale, alors Francescas va mourir, deviendra de dortoir de Nérac ou d'Agen.
Alors on pourra dire." Les derniers éteint la lumière"!