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Les guerres
L'histoire a ignorée un peu le destin de Francescas, mais le destin de la France a obligé Francescas de participer a son histoire .
Les impôts et l'obligation de la ville de fournir des soldats selon les guerres à marqué ce village et sans doute a empêcher une évolution civile avantageuse.
Pas moins que 41 guerres (civile et avec d'autres pays) ont formées la France mais aussi participé au retardement d'une évolution économqiue stable et orienté vers l'avenir.
Surtout ces guerres ont contribuées a concentré le pouvoir à Paris, un fleaux qui poursuivra ce pays jusqu'aujoud'hui.
Les guerres les plus marquants pour Francescas étaient la Guerre de Cent Ans 1337 à 1453 et les 8 guerres civiles de réligion 1561 - 1598
L'impact des guerres sur la population
L'augmentation nécessaire des impôts ne peut évidemment être obtenue que par la force. Les percepteurs d'impôts sont souvent obligés d'être accompagnés par des hommes armés. On peut et on doit parler ici de dictature de guerre et non de monarchie "absolue". Il va sans dire que tout cela s'accompagne souvent d'improvisation. Cette dictature de guerre s'accompagne d'un immense chaos, difficile à saisir pour l'historien, et les populations ne comprenaient pas que les guerres se poursuivait et que rien n'avait été décidé.
Les hausses d'impôts sont particulièrement sévères en période de mauvaises récoltes et les troupes provoquent des épidémies. En passant, les stocks sont détruits, les semis sont empêchés et il en résulte des famines. Ainsi se forme un cycle terrible, un véritable circulus vitiosus, une spirale descendante. La situation démographique, qui est un facteur essentiel de l'Etat et de la vie économique, varie considérablement d'une région à l'autre. Les taux de natalité dans l'Ouest ont tendance à s'élever au-dessus de la moyenne nationale jusqu'en 1640 environ. Ailleurs, elle s'est stabilisée ou est en baisse plus ou moins marquée, selon la situation de guerre. La phase finale des guerres de religion s'est accompagnée d'une baisse de la courbe climatique et démographique, qui a pris des formes terrifiantes, surtout dans les années 1580-1600. Cependant, le déclin de la population conduit non seulement à l'abandon des zones modérément productives et à la reconversion vers les champs les plus fertiles, mais aussi - tôt ou tard - à une augmentation compensatoire de la population. D'autant plus que des troupeaux de bovins paissent maintenant sur les terres abandonnées. La situation alimentaire s'améliore, les salaires augmentent, car le travail est abondant, mais les travailleurs sont rares : C'est une condition préalable à un réveil qui, après un certain temps, reviendra de lui-même.
La France paya très cher sa victoire sur les Anglais pour récupérer son territoire. Les guerres ravagèrent le pays tout entier et ruinèrent l'agriculture, occasionnant la famine et la peste, décimant le tiers de la population. La noblesse elle-même perdit près des trois quarts de ses effectifs, permettant ainsi aux bourgeois enrichis par la guerre d'acheter des terres et de s'anoblir. La vieille société féodale se trouva ébranlée et un nouvel idéal social, moral et intellectuel commença à naître.
Cette tendance s'observe surtout dans les zones où le nombre de champs à faible rendement est important (principalement le sud et le centre de la France). La crise de la première moitié du XVIIe siècle est dramatique, mais heureusement, malgré la guerre et sa misère, elle n'atteint pas la même ampleur qu'au XIVe siècle. Il se peut même que le pic de population soit légèrement supérieur à celui de la fin du Moyen Âge.
Mais le contraste entre l'effondrement de l'agriculture et du commerce en Europe centrale et orientale et le boom de l'économie maritime anglaise est particulièrement fort.
Mais en France même, le français avait pris de l'expansion. Les vastes opérations militaires et les conquêtes territoriales dans la «France anglaise» avaient diffusé le «françois» dans toute la France. Le brassage des populations et des troupes avaient favorisé l'emploi du «françois» dans toutes les classes de la société, même dans le Sud, car l'intervention du roi en Occitanie avait accéléré la francisation de cette partie du royaume. En 1490, Charles VIII (1470-1498) prescrivit une ordonnance pour imposer l'usage du «langage François» ou «maternel»: