LE SAUMONT

Région: Aquitaine
Département: Lot et Garonne
Code postale: 47174
Population : 158 habitants
Surface: 6.7 km2

Mairie de Le Saumont
Maire : Monsieur Pierre LABADIE
Le bourg
47174 SAUMONT
+33 5 53 97 14 50
Mail:
saumontlebourg@wanadoo.fr
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Cette commune est un charmant petit village de 213 habitants situé dans le Lot-et-Garonne à une hauteur de 129 mètres. Il est traversé par le ruisseau l'Auvignon et le ruisseau le Petit Auvignon. Le nom des habitants de Saumont est Saumonais (fem. Saumonaises).
Le Saumont et son point de vue magnifique furent un lieu de prédilection du Temple. Il ne subsiste rien de leur passage sinon une exceptionnelle chapelle souterraine, au fond du parc du château, dont les murs servent, hélas ! aujourd'hui, de réservoir d'eau.

Sur les coteaux d’Albret, Le Saumont est un village dont l’activité économique rurale se caractérise par la production de céréales, graines, semences ainsi que de fruits et primeurs ou sous serres. Cette commune possède environ cent soixante habitants et nous offre un panorama sur la vallée. Le nom du Saumont vient de la racine latine « Saltus Montus » signifiant le mont boisé.

D’un point de vue historique, deux agglomérations sont mentionnées sur le cadastre de 1818 : l’une devant le château a été totalement détruite au XIXème siècle, l’autre de plan régulier liée à l’église paroissiale et qui se trouve être l’emplacement du village actuel. Le château présente un plan régulier en U et sa construction date du XVIIème siècle. Acquis en 1956 par l’association « les petits frères des pauvres », le château devient un lieu d’accueil temporaire pour les personnes âgées et ses dépendances se voient transformées en chambres et offices. Le parc accueil de nombreux cèdres ainsi qu’une source et un bassin.

Le village Le Saumont

Son histoire

Messire Bertrand de Somont, chevalier, reconnaît le même jour 14 novembre 1286, tout ce qu'il possède dans l'honneur de Francescas, et déclare devoir fournir pour cela un servant d'armes, avec le seigneur de Saint-Barthélemi de Trillan (Dominus Bertrandus de Somont, miles.... et recognovit se debere facere pro proedictis, unum servientem de exercitum cum domino sancti Bartholomei d'Estrillano.) Il excepte de sa reconnaissance au roi d'Angleterre, ce qu'il tient, dans ledit lieu de Francescas, de messire Guillaume-Raymond de Pins, au nom de dame Vianne, sa défunte épouse et le serment de fidélité (excepto eo quod ienet a domino Guillelmo Raymundo de Pinibus, nomine dominoe Vianoe (uxoris) quondam in dicto loco de Francescas, et sacramentum fidelitatis).
Il était possédé au XIV° siècle par une branche de la maison d'Albret. Bérnard d'Albret,
seigneur du Saumont, laisse en mourant cette seigneurie à sa soeur Marguerite, qui elle-même avait un gendre.
Deux mois et demi avant la désastreuse bataille d'Azincourt, livrée le vendredi 25 octobre 1415, où Charles II, sire d'Albret, connétable de France, fut tué avec une grande partie de la haute noblesse française, « Bernard VII, par la grâce de Dieu, comte d'Armagnac, Fe zensac, Rodés et Pardiac, vicomte de Fezensaguet, Bruilhois, « Creyssel et Carladais, seigneur des terres de Rivière, d'Aure et des « montagnes de Rouergue, » donne des Lettres patentes, datées de son château de Vic-Fezensac le 3 août 1415. Ce prince enjoint par
lesdites lettres, à ses amés et féaux, messire Guillaume-Jean de Ymer, licencié ès-lois, son bailli de Bruilhois, Arn. de Lafonlan, son procureur vicomtal au même siége et à leurs lieutenants, de faire mettre en possession et saisine corporelle et actuelle de la seigneurie du lieu du Saumont, noble Marguerite d'Albret, soeur et héritière de feu noble Bérnard d'Albret, en son vivant seigneur du Saumont.
En conséquence, le 6 août 1415, Bernard d'Aguzan, lieutenant du dit bailli de la vicomté de Bruilhois, après avoir reçu respectueusement les dites Lettres et les avoir lues publiquement (quibusquidem Litteris reverenter per dictum dominum locum tenentem receptis acibidem lectis publice), met noble Jean de La Serre, gendre et procureur fondé de la dite noble Marguerite d'Albret, en possession et saisine réelle, corporelle et actuelle du Saumont. Pour cela il lui livre la principale porte du lieu , le fait entrer dans le Saumont, lui fait fermer et ouvrir ladite porte (in realem, actualem et corporalem pocessionem et saysinam prodicti loci Ausamontis posuit et induxit videlicet per traditionem janue principalis dicti loci, intus dictum
locum intrando et aperiendo ). Le lieutenant du bailliage entend mettre ainsi le procureur fondé de Marguerite d'Albret, dame du Saumont, en possession de tous les droits, rentes, provenances et appartenances du dit lieu.
Il mande et commande à Arnaud d'Audebert et Jean de La Claverie, consuls du Saumont et à plusieurs autres personnes présentes de la même commune, de recevoir ladite noble Marguerite comme leur dame, et noble Jean de La Serre, comme procureur fondé de la même dame ; de lui obéir comme ils le faisaient à feu noble Bérnard d'Albret, frère de la dite Marguerite.
Noble Jean de La Serre, damoiseau, prête ensuite serment aux Consuls et aux habitants du Saumont, au nom de noble Marguerite d'Albret, dame dudit lieu, en présence de messire Bernard d'Aguzan, lieutenant susdit.
Arnaud d'Audebert et Jean de la Claverie, Consuls, et les habitants du Saumont, prêtent à leur tour serment de fidélité entre les mains de Jean de La Serre, damoiseau, procureur fondé de Marguerite d'Albret, dame dudit lieu, sa belle-mère. Ces prestations réciproques de serments sont faites en public clans l'église du Saumont. Tous ces actes sont retenus par Pierre de Span, notaire public de Bruilhois et de toute la sénéchaussée d'Agenais et Gascogne (Minutes de Pierre de Span, qui font partie des archives).
La seigneurie du Saumont était donc possédée au XIV°siècle et au commencement du XVe, par une branche de la maison d'Albret.
Hélène d'Albret du Saumont épousa noble Biaise de Béarn, (descendant, non des anciens vicomtes souverains de Béarn, comme le nom porterait à le penser, mais d'un fils non légitime du célèbre Gaston Phoebus, comte de Foix. vicomte de Béarn, Gabarret. etc.). Après eux, noble et puissant seigneur Etienne de Béarn, seigneur du Saumont (de Ausamonte), marié avec Annette du Lion, achète par contrat du 19 juillet 1469, à Jean de Filartigue, seigneur de Gueyze et d'Estrepouy, toutes les terres, forêts, fiefs, rentes, services, haute,
moyenne et basse justice appartenant au dit de Filartigue dans les lieux de Calignac, Francescas, Autièges et Lormes, entre autres la forêt noble d'Anguilh, située dans la juridiction de Calignac.
Joseph de Béarn, seigneur du Saumont en 1580, frère aîné de Biaise de Béarn, seigneur de Réaup, et arrière petit-fils d'Etienne, n'eut qu'une fille Jeanne-Marthe de Béarn, qui était dame du Saumont en 1607, 1609 1644, et mariée à noble Jean-Louis de Mauléon, seigneur de Francon.
Nous donnons ici quelques détails généalogiques, parce que la seigneurie du Saumont est passée par mariage dans cinq familles différentes depuis les d'Albret au XIVe siècle, jusqu'à la Révolution, et qu'il est difficile de comprendre ou du moins de retenir comment et à quelles époques ces mutations se sont opérées. Nous reprenons nos énumérations succintes, Marie-Claire de Mauléon (née du mariage de Jeanne-Marthe de Béarn avec Jean-Louis de Mauléon), apporta le Saumont à son époux François de Tersac, seigneur marquis de Montberault. Leur fille Jeanne-Marthe de Tersac-Montberault, clame du Saumont, épousa, le
8 avril 1657, François-Auguste-Michel de Montault de Saint Sivier, seigneur de Malartic, baron de Cadeillan. Depuis cette époque, les comtes de Montault Saint-Sivier, leurs descendants, ont été seigneurs du Saumont jusqu'à l'abolition des fiefs.
On sait que Bernard, seigneur du château de Noé, situé sur la rive gauche de la Garonne, entre Muret et Rieux, et du château de Montaut, construit presque vis-à-vis sur la rive droite du fleuve, laissa deux fils de dame Dias, son épouse. Gautier, l'aîné, eut la baronnie de Noé ; il a continué la maison de ce nom (qui habite de nos jours le château de l'Isle d'Orbessan, appelée aussi l'Isle de Noé).
Arnaud Pons de Noé, frère puîné de Gautier, eut en apanage en 1143, la baronnie de Montault, près Noé. Du mariage de cet Arnaud Pons de Noé, baron de Montault, avec Judith, vicomtesse de Terride, sont descendus les MM. de Montault, barons de Bénac, les ducs de Navailles (entré autres Philippe II, duc de Navailles, maréchal de France), les comtes de Montault de Saint-Sivier, seigneurs du Saumont.
M. Dumon, père de l'ancien ministre des finances, avait, au commencement de ce siècle, acheté la terre du Saumont, comme la terre d'Aubiac. Il l'a donnée à son gendre M. Rotch Barsalou, ancien député de Lot-et-Garonne, dont la fille unique est mariée au 3me baron Eschassériaux, député de la Charente Inférieure. M. Roych Barsalou est décédé 1885.
Durant le Moyen-Age et jusqu'à la Révolution, Le Saumont, le Nom-Dieu, Bax et Beaulens étaient quatre communes de la vicomte et du bailliage d'appel de Bruilhois. Elles étaient situées entre les deux Auvignon, comme le sont en amont de ces cours d'eau, les villages ou petites villes de Ligardes, Estrepouy, Gazaupouy; La Roumieu, Castelnau de Fimarcon, etc
.

La mairie de Le SaumontUne étable à Le Saumont/p>

1789: 381 habitants (Dictionnaire général de France)

Le Village et son histoire

Le village Le Saumont

Deux agglomérations figurent sur le cadastre de 1818 : l' une devant le château a été entièrement détruite au 19e siècle, l' autre de plan régulier, liée à l' église paroissiale, est le village actuel ; selon A. Dubourg, Saumont serait une dépendance de la commanderie du Nomdieu ; certaines maisons de la rue du nord présentent des vestiges pouvant dater du 16e siècle ; mais les édifices composant le village ont été presque tous reconstruits dans la 2e moitié du 19e siècle.

Une maison du village Le Saumont

Le Chateau

Le château du village Le Saumont


Selon Bourrousse de Laffore, la seigneurie du Saumont était possédée au 14e siècle par une branche de la famille d' Albret, et passa ensuite à une branche de Béarn. Le château antérieur au 17e siècle était vraisemblablement situé à l' emplacement de l' aile ouest, dont le mur ouest possède un fruit et des tours d' angles circulaires en ruine figurées sur le cadastre de 1818. Au château était associé un village, encore figuré en 1818. Le château est reconstruit en 1654, selon une inscription gravée placée sur l' aile ouest (" 1654 CET POUR LES MIENS ") , pour Marie-Claire de Mauléon et son époux François de Tersac, seigneur de Montberault. Vendu en 1807, il est acheté par Dumont et Aunac, associés. Dans les années 1830, 10 métairies, 2 moulins à eau, 1 moulin à vent et des bois sont attachés au château, selon H. Labouche. En 1839, Rotch Barsalou, député, se rend propriétaire de l' ensemble. Sa fille en hérite en 1887 et y effectue d' importants remaniements achevés en 1888 : surélévation d' un étage des ailes de dépendances, construction du 2e étage du logis, de l' escalier central, des cheminées du 1er étage.

Acquis en 1956 par les Petits Frères des Pauvres, qui l' aménagent pour l' accueil temporaire de personnes âgées, transformant notamment les dépendances en chambres et offices.

Depuis 1984 - Maison d'accueil temporaire 25 places
"Château du Saumont" (5 A.S) Héb. Temporaire :
47600 LE SAUMONT GIR 1-2 : 22,45 euros
Association : Géront’Aquitaine GIR 3-4 : 14,25 euros
Directrice : Mme Sandrine CHENOUNA GIR 5-6 : 6,05 euros
 05 53 97 12 51 à compter du 01/05/2010 (*)
Fax : 05.53.65.63.29
Email : gerontaquitainelechateausaumont@yahoo.fr

Quel avenir pour le «Château» du Saumont

Publié le 02/07/2018 (La Dépêche)

Assemblée générale jeudi pour les membres de l'association de Géront'Aquitaine en présence notamment du maire de la commune Jean-Louis Lalaude.
Une association qui a en charge la gestion de l'établissement d'hébergement temporaire pour personnes âgées dépendantes du Château du Saumont et du centre de loisirs rencontres et stimulation attenant.

Une année 2107 qui a connu quelques changements. Après 17 ans de présence, le docteur Edmond Valay a laissé sa place à Marie-Hélène Folch-Castillo. La nouvelle présidente, cofondatrice de l'association et vice-présidente depuis de longues années, entend bien tenir le même cap que son prédécesseur avec humanité et sincérité.

Avec ses 25 places, le Château offre un accueil temporaire après un passage en hospitalisation, permet des périodes de répit aux aidants, et accueille momentanément les personnes isolées. Le taux d'occupation qui avoisine les 98 % confirme bien l'importance de cet hébergement en milieu rural.
Un centre de loisirs unique et novateur

Ouverte en 2004, la structure accueille aujourd'hui plus de 2 000 participants par an. Elle s'adresse à des personnes vivant à domicile comme en établissement. Des ateliers, gymnastique, chant, informatique, mémoire… sont proposés sans compter le parcours dans le parc destiné à la préservation de l'autonomie. Les financements de la Fondation de France, de la Conférence des Financeurs ont permis le développement et l'amélioration de l'ensemble des équipements du site au fil des ans.

Un plus, chaque été, la mobilisation de soignants et de bénévoles, encore plus à l'écoute des personnes âgées afin de les aider à rompre leur isolement, oublier un temps leur solitude permettent à une vingtaine d'entre elles de partir en vacances.

Cependant,la question est posée. Le bâtiment du Château appartient au Petits Frères des Pauvres. Ces derniers souhaitent le vendre et ont décidé de privilégier Géront'Aquitaine pour son acquisition.

Aujourd'hui l'outil s'est développé, répond aux normes de sécurité et d'accessibilité et son activité hébergement génère un solde financier positif. Un appel a projet pour la gestion de la maison de retraite a été lancé par l'Agence Régionale de Santé. Géront'Aquitaine est naturellement candidate, a rendu sa copie et est dans l'expectative précise la nouvelle présidente.
Achat envisagé

Quoi qu'il en soit l'achat est d'ores et déjà envisagé. Un dossier en ce sens devrait être déposé dans les prochains jours. Pour les membres du conseil d'administration il apparaît impensable de dissocier les deux structures, très complémentaires, plébiscitées par les résidents, les familles et le public qui fréquente le centre de loisirs.

 

Une visite du député sur fond d'actions gouvernementales
Vendredi, sur le site du Château du Saumont, Michel Lauzzana, député d'Agen/Nérac, est venu à la rencontre de l'association Géront'Aquitaine, de sa présidente Marie-Hélène Folch Castillo et de son vice-président le docteur Edmond Valay, lequel avait présenté à l'élu, quelques jours plus tôt, les projets de l'association qui est en pleine évolution.
L'Occasion pour le député de présenter le plan d'actions gouvernemental pour les EHPAD.
«L'allongement de la durée de vie est un enjeu de société pour lequel nous devons mener une réflexion intelligente sur le long terme». Les problèmes constatés aujourd'hui sont, pour celui qui est également médecin et très sensibilisé au sujet, «la résultante de manquements accumulés d'années en années».
Pour le député, «le modèle existant est de fait inapproprié, la feuille de route mise en place par le gouvernement doit permettre de répondre aux besoins avec 430 000 millions d'euros investis et la création de 20 000 postes. «Plusieurs mesures seront mises en place dans les EHPAD pour prévenir la perte d'autonomie, pour développer le soutien aux aidants, la présence d'infirmiers de nuit, la formation des aides-soignants… et pour pallier le manque de places en hébergement temporaire : 1 000 seront financées dès 2019 afin de réduire les durées d'hospitalisation et apporter un soutien aux familles souvent très sollicitées.
Une mission qu'assure d'ores et déjà l'association Géront'Aquitaine, gestionnaire de l'EHPAD temporaire de 25 lits «Le Château» et du centre de loisirs Rencontres et Stimulations qui se trouve sur le même site.
Mais, comme l'explique la présidente de l'association, «la réponse au vieillissement soulève également une réflexion éthique portant sur les «droits et liberté» des personnes accueillies et sur l'univers trop souvent contraint qui leur est proposé. Géront'Aquitaine l'a bien compris, et de toute façon, les «nouveaux vieux» n'accepteront plus d'être enfermés dans des résidences aseptisées et déshumanisées.
Une visite qui a permis au député Michel Lauzzana de découvrir le lieu et d'encourager l'association qui par l'hébergement temporaire joue en effet un rôle majeur dans cet enjeu de société qu'est le vieillissement de la population. Pour rappel Géront'Aquitaine ouvre ses portes le 9 juin à l'occasion du vide-greniers annuel. Pour exposer, il est encore temps de vous inscrire au 06 11 75 68 85 (2 € le mètre)(06/06/2018 - La Dépêche)

L'église

L'église au Saumont


Dépendance de la commanderie du Nomdieu, selon A. Dubourg, ce que pourrait confirmer le linteau de la porte du cimetière orné d' une croix de Malte ; reconstruite au 16e siècle, dont peut dater le portail ; le clocher pignon en pierre de taille a été vraisemblablement édifié au 17e siècle ; porte du cimetière datée 1744 ; remaniement des ouvertures et de la corniche dans la 2e moitié du 19e siècle, probablement en même temps que la reconstruction du village ; réfection intérieure récente.

L'intérieure de l'église à Le Saumont

La Fondation du Patrimoine a participé à la restauration du Pont roman situé sur la Grand Auvignon (communes du Saumont et de Moncaut)Pont Roman au lieu dit Moulin neuf.

Le pont roman

Ce patrimoine communal, dont la construction est datée des environs des XIIème et XIIIème siècles, avait été fortement endommagé au fil du temps. En effet, il était resté de très longues années sans pouvoir être utilisé.

Le moulin neuf a été construit en 1504.
Il a été complèetement renové 2008 - 2010 par son propriétaire, Mr. P. Espinasse.

Le moulin neufLe moulin neufLe moulin neuf

Le moulin de Coulaqué

Le moulin de Coulaqué

Ce moulin a subi certaines modifications puisqu'il présente des fenêtres exposées aux quatre points cardinaux et a été transformé en pigeonnier. La porte nord est surmontée de l'inscription gravée 1881

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